Il faisait beau en ce début d?après midi de mars, et le parking près de la foret était bien occupé. Les conducteurs de ces voitures vides étaient ils en simple visite pour une promenade dans le bois ou venaient-ils, comme moi, avec l?intention de jouer à « touche pipi » ?
Je m?enfonçais donc dans ce petit chemin bien marqué par les nombreux passages de ces visiteurs furtifs mais déterminés, après m?être dirigé pendant cinq minutes dans ce bois, j?aiguise mon regard afin de scruter la moindre perception de vêtement à travers les arbrisseaux et le branchages encore dépourvus de leurs feuilles en ce début de printemps.
A regrets, il faut bien constater que l?endroit est désert et qu?il faut regagner ma voiture les couilles pleines? Sur le chemin du retour, une ombre furtive se précise jusqu?à ce que la personne s?approche, me regarde et continue son chemin. C?est un black?pas un apollon, mais un black tout de même, j?hésite un peu et tout compte fait, demi tour pour lui suivre le pas. Je l?aperçois à quelques dizaines de mètres à travers les branches, mais il a été vite et il faut que j?accélère pour revenir à sa hauteur.
J?arrive sur une zone type clairière, personne, je vais dans un sens, fouille dans un autre : personne. Tout à coup, je n?en crois pas mes yeux, ce n?est pas un mais deux blacks qui flânent et cherchent opportunité. Le nouveau venu est plus sec, plus jeune que le premier. Il a la prestance d?un étalon, sûr de lui.
J?entre le mieux possible dans leur champ de vision pour attirer leurs regards, le premier black semble intéressé mais c?est pas tout à fait ce que j?espérais, ayant un coup de c?ur pour le second. Je me dirige vers une zone un peu moins découverte et le premier me suis. L? étalon observe ce petit jeu qui est un rituel dans ce type d?approche mais ne bouge pas.
Le premier black que je surnommerai le grassouillet par rapport à son « collègue » s?approche doucement de moi qui me suis positionné dans une alcôve de branchages protégeant en partie du regard, assurant une petite protection visuelle, au cas où.
Je me caresse doucement la braguette et le regarde, il me fixe avec un joli petit sourire?c?est un laissez passer pour aller un peu plus loin.
J?avance de quelques pas en me caressant le paquet, j?arrive à sa hauteur et sans perdre de temps, lui pose ma main droite sur son pantalon pour caresser son sexe à travers le tissu. Sourire et dents blanches aux lèvres, il commence à dégrafer lentement sa ceinture et déboutonner sa braguette. En quelques instants, j?ai, assez à ce qui est pour moi un de mes phantasmes, un « bite de black ».
Certes, elle est encore mi molle et je vais devoir m?appliquer à lui donner une fierté. Après avoir lentement soupesées et caressées ses couilles, je m?applique à faire coulisser lentement cette chaire qui me découvre un gland qui brille à chaque fois que ma main arrive à la base de cette verge. Il ne bouge pas et il faut donc que je prenne l?initiative, j?en ai trop envie et je me baisse pour commencer à la sucer quand ma tête arrive à la hauteur de son membre, il me la prend pour me la faire remonter, tout en remontant son fute, je me dis « du con, t?as du faire quelque chose qu?il n?aime pas »?. Pas du tout, il me demande d?aller dans l?alcôve afin d?être moins exposé et continuer discrètement le début de nos échanges.
Voilà qui est fait, nous sommes un peu plus protégés des regards. Je retourne sur sa ceinture et sa braguette et ressort son sexe mi mou, il en fait de même avec moi et nous sommes tous les deux pantalons sur les chevilles et queues à l?air. Je reprends ce que j?avais à peine commencé et me prends cette bite d?une grosseur honnête en bouche, quel bonheur pour moi de voir ce membre couleur ébène s?engouffrer entre mes lèvres et venir buter dans de ma gorge. Mon black grassouillet apprécie et n?a pas l?air moteur pour faire autre chose et me rendre la politesse, je m?installe donc tant bien que mal dans cette nature, à genoux afin de le sucer dans les meilleures conditions possibles, je suis aux anges.
Tout à coup j?aperçois sur ma gauche, le second black aux allures d?étalon qui nous mate et il la main dans la braguette et sort sa bite pour commencer à se branler.
Tout en suçant le premier avec gourmandise et volupté, je regard le second qui m?excite, le salaud, avec cette queue black qui semble un peu plus importante que celle que j?ai en bouche.
Constatant que mes interventions n?étaient pas qu?une simple branlette à la va vite, l?étalon se rapproche pour venir rejoindre notre duo et vient frotter d?une façon impérative son gland à la commissure de mes lèvres.
Je ne pensais pas il y a trente minutes que je me retrouverai avec deux bites black en bouche en quelques instants. C?est excitant mais aussi assez difficile à gérer aussi je me repositionne afin de sucer alternativement l?un après l?autre, l?étalon porte bien son nom car outre un corps svelte et musclé, sa bite rasé et mieux bandée notamment grâce à un cockering en cuir noir.
Je suce l?un et l?autre tour à tour, pendant que l?un me pilonne la gorge je m?applique à masturber délicatement l?autre et vice et versa. Et, ce,avec le cul à l?air le pantalon sur les chevilles.
L?étalon est plus directif que le grassouillet, il en demande plus et veut que je le suce plus longtemps. De ce fait, mon premier intervenant, commence à me peloter les fesses et essaye d?introduire un doigt dans ma rondelle.
Cette situation est paradoxale, elle m?excite à un point difficile à expliquer tant elle répond à un phantasme, mais curieusement je ne bande presque pas?.
L?étalon est excité au plus haut point, j?abandonne quelques instant sa pine pour reprendre un peu mon souffle et remonte sur ses tétons pour lui lécher et suçoter, il sort une petit fiole de sa poche et après l?avoir ouvert la porte à ses narines et pratique deux ou trois profondes respirations. L?autre pendant ce temps, à mouiller deux ou trois doigts (je ne vois pas) et force ma rondelle tout en dégageant quelques petits gémissements de satisfaction. Il est tendre et brutal à la fois, je me retourne vers ses dix huit centimètres pour le satisfaire et reprendre ma pipe. Il est complètement allongé le bras tendu sur mon dos pour me doigter pendant que je le suce. Difficile de satisfaire ces deux blacks en même temps et je n?ai pas le temps de reprendre ma respiration que l?étalon, émoustillé par ses respirations de ce que je pense être du Poppers m?ordonne : suce moi !
Je deviens une chienne entre ces deux mecs qui sont de plus en plus excités et me tourne donc vers les vingt ou vingt et un centimètres que l?on me « force » à sucer et avaler. Le gland n?est même pas au fond de ma gorge qu?une bite s?enfonce dans mon cul.
Je suis pris en sandwich par une bite en bouche et une bite dans le cul, en en plus : bites de blacks, l?apothéose !....
Tout à coup, retour rapide à la réalité, il est en train de me prendre, je me redresse (ça fait du bien !..aux reins) tout en fouillant dans ma poche de pantalon pour en extraire une capote car ce salaud m?enculait sans être protégé, je tends à mon grassouillet qui s?empresse de l?enfiler. Je n?en ai qu?une (je pouvais pas prévoir que?) donc pendant que celui qui m?enfilait commence un bourrage de va et vient, je retourne vers les vingt centimètres de l?étalon qui me prend la tête et me lime la gueule.
C?est irréel, d?autant que pris des deux côtés dans la concrétisation de ce qui a longtemps était un phantasme, je n?ai pas vu arrivé les deux queues blanches qui se masturbent à coté de nous à vive allure en pelotant le cul d?un de MES noirs.
Combien de temps cela a duré, difficile à dire, longtemps quand j?étais en action et rapidement après coup, mais comment ont-il fait, je n?en sais rien toujours est il que j?ai à peine eu le temps de dégueuler la grosse bite devenue luisante avec ma salive que celle-ci me lâchait la purée par de nombreuses saccades alors que je sentais un chaud jet au fond de mes entrailles.
A peine, la dernière goutte sortie, mon étalon reprenait sa pine en main et venait l?essuyer en la frottant sur ma joue et la rentrait dans son slip. Tandis que le grassouillet avait « décapoté » et rangé son matos et tournait les talons. Les deux bites supplémentaires des blancs, pas mal les mecs maintenant que je pouvais mieux les voir se terminaient mutuellement rapidement.
Moi, je me retrouvais le cul en feu, les couilles pleines comme un con, l?action était terminée et mes partenaires se dispersaient comme ils étaient venus, sans que l?on sache où !
Ravi et un peu sonné, seul, je prenais le temps de sortir les mouchoirs nécessaires pour me faire ce que l?on peut considérer comme un semblant de toilette. M?essuyant la rondelle gluante et la joue « enspermée ». Il me fallait rentrer, bien qu?inassouvi, j?allais tout de même pas me palucher debout, seul, en pensant à ce qui venait de m?arriver !
Avec une drôle de sensation d?être satisfait et insatisfait à la fois. Je regagne donc le cheminement principal où je croise un mec qui vient chercher, à son tour, un peu de bonheur?il a une tête patibulaire du genre à changer de trottoir quand on est en ville. Je continue jusqu?à l?approche visuelle du parking en lueur de foret et je vois un mec qui lui aussi s?engage sur ce chemin. Il arrive à ma hauteur, il est blond,en jogging blanc à bandes argent. Il lève la tête c?est un mec de vingt cinq trente ans difficile à dire, il me regarde dans les yeux et sors sa langue qu?il fait tourner sur ses lèvres , tout en mettant la main sur la zone de sa bite et simulant le geste de se gratter les couilles??si c?est pas une invitation, c?est que je suis un touriste à la cueillette des champignons.
L?heure est déjà avancée et il ne serait pas raisonnable d?aller plus loin car cela va me mettre en retard. Mais, une invitation comme celle la après ce qui vient de m?arriver avec les blacks and c° est ce raisonnable ?
Demi tour donc, à la poursuite du blond qui retourne la tête et constate que j?ai pris son pas. Lentement, mais sûrement, Il s?enfonce dans la foret et cherche à se poser. C?est le mur d?une petite construction (type transfo EDF) qu?il choisi pour s?arrêter. L?endroit n?est pas super discret, mais je pense que si j?essaye de l?entraîner autre part, il va passer son chemin. Je m?approche, il est appuyé contre le mur un pied calé vers l?arrière. « En attente ». Je lui mets la main sur son sexe et il lève la tête. Je rentre ma main dans son pantalon type jogging, le p?tit salaud n?a pas de slip, il m?excite. Je baisse son fute et il m?aide car l?élastique est un peu dur, je me penche lui commence un pipe. Ce n?est pas un super morceau, pas décevant, mais dans la moyenne nationale, par contre ces couilles sont lourdes pendantes et bien décollées et en plus rasées ainsi que la base de sa pine.
Après quelques aller et retour, je m?arrête pour reprendre respiration. Il se penche vers moi et me tend ses lèvres, nous nous embrassons goulûment et sans voir grand-chose, me dégrafe la ceinture et accède à mon sexe.
Il se penche et c?est enfin à mon tour de me faire sucer, il s?est bien faire et je me délecte de voir mon sexe entre ses lèvres s?enfourner jusqu?à garde?..et en plus il fait tourner sans langue que c?est bon?. !
Comme moi tout à l?heure, il a l?air fasciné par ma queue dans sa bouche et ne décolle pas dans des va et vient d?enfer tout en se masturbant. (J?aurai même envi qu?un troisièmement type viennent me prendre par derrière. Etre enculé et sucé en même temps, c?est bon aussi.) Vu l?aventure précédente, mon excitation est rapidement au summum et c?est dans un râlement que je lui lance « fais gaffe, je vais jouir » et m?apprête à reprendre mon membre en main . mais il n?en tient compte, bien au contraire, il tient son sexe de la main droite qu?il masturbe à vive allure accroupi, tout en appuyant de la main gauche sur ma fesse droite pour me « bloquer ». Il accélère d?autant plus ses sussions que je lui joui donc dans la bouche, il est comme en transe en émettant des ah, ah, ah étouffés par ma queue qui continue à lui limer la bouche, tout en déchargeant de vifs et puissants jets de spermes sur les feuilles et?. mes chaussures.
Il se redresse ; Je lui tends des mouchoirs, on se remet en état et regagnons nos voitures en discutant de banalités sur le lieu et la fréquence de nos visites. Sur le chemin, on croise un mec??il a l?air sympa et si ?.., non pas cette fois ci, il faut savoir mettre une fin aux bonnes choses !
Cette merveilleuse aventure,réelle, c?est passée le lundi 12 mars 2007 sous le soleil de l?Ile de France Ouest.